Des expériences se sont déroulées au zoo de Schönbrunn. Deux scientifiques sont censés y participer. L’étude se fait sur la pollution sonore dans l’aquarium, d’un côté. De l'autre, elle porte sur le comportement des différents visiteurs présents.

Le déroulement de l’expérience

Dans un aquarium contenant un mètre cube d’eau, Helmut Kratochvil, avec son homologue Harald Schwammer ont placé en cachette un microphone hydrofuge mis en connexion avec un récépteur. A chaque fois que les visiteurs toquent contre la vitre de l’aquarium, le dispositif s’allume vite. Ce fait s'avère significatif car l'enregistreur parvient à repérer l'existence d'une action mentionnée par le choc. On laisse passer le phénomène pendant une semaine. En recueillant les données, les enregistreurs ont inscrit dans leur comptabilité des coups correspondant au nombre approximatif des visiteurs ayant l’habitude de taper sur la vitre. Bien entendu, le mot « approximatif » intervient d’autant qu’un visiteur peut alternativement claquer plus d'une fois.

Ce qu’évoque l’expérience

Lors de l’arrivée en masse du public scolaire pour la visite du zoo, on peut calculer le nombre de visiteurs selon le nombre de coups enregistrés. Plus ce nombre paraît considérable, plus on estime aussi une visite exclusive du zoo. A noter seulement que la conception ne s’écarte pas loin de la réalité, même si une personne touche deux ou trois fois la vitre. Pour cela, vient se poser une question méritant une réflexion profonde : le cas engendre -t-il un grand problème pour les poissons ? En évaluant une visite théorique hebdomadaire de 6000 à 7000 personnes, on a alors le traumatisme violent pouvant perturber ces espèces aquatiques. C’est ainsi, car ces créatures ont la sensibilité de capter facilement les ondes transmises par les vibrations causées par tout contact ou tout choc.

Les dangers qui menacent et les précautions à prendre

Pour les humains vivant sur la terre, les perturbations, quelle que soit leur nature, ont la faculté de causer tant d’anomalies sur le déroulement de leur vie. De même, vu que la pression acoustique se présente plus puissante dans l’eau que dans l’air, les ondes  produites par des coups s’exercent intensément dans ce liquide. Ce phénomène catastrophique peut causer alors des embarras aux poissons. Le cas n’est du tout dérisoire au point de le négliger. Les précautions à prendre sont faciles à imaginer. Sans doute, la visite d’un aquarium nécessite des mesures rigoureuses adressées aux visiteurs pour éviter encore le pire : le décès des poissons.